Métamorphose d’une cour intérieure
L'hôtel Renaissance Le Parc possède une cour intérieure, classée Espace Vert Protégé. A ce titre, le patrimoine végétal doit y être particulièrement mis en valeur et les eaux pluviales doivent pouvoir s’infiltrer le plus possible dans les sols.
La priorité était de redonner au site un caractère ‘jardiné’, perdu au fil des aménagements. Les marronniers dont l’état phytosanitaire était préoccupant, ont été abattus, permettant par la même occasion de retrouver de la luminosité. Les murets qui contraignaient le jardin sont supprimés, afin de retrouver une planéité et la sensation de ‘pleine-terre’. Le sol en pavés autobloquants est remplacé par un béton drainant, perméable à l’eau et absorbant les sons.
Le dessin emprunte au vocabulaire des parcs formels, avec des haies d’ifs taillés qui contiennent une végétation luxuriante, constituée majoritairement de plantes de sous-bois. L’accent est mis sur les feuillages, avec des érables japonais et des fougères arborescentes.
Une sculpture en forme d’oeuf signe l’ensemble travaillé autour de la (re)naissance de l’hôtel.